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Edité le 05-09-2007 à 17:43:46 par Mimie
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| | Intro
Nous sommes chanteurs de sonnette
Fait pour divertir les passants
Et les faineants
A tout venant nous chantons nos chanssonettes
Laquais, cochets et ouvriers
Qui viennent nous écouter.
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| | La bourrée du diable (ma préféré, avec Ma Dong Dong et les Compagnons de Provence)
Hé viens danser la bourrée du diable
C'est chaud pour le coeur et sa fait oublier
Viens danser la bourrée du diable
N'ais pas peur d'avoir du feu dans tes souliers
Quand tu as le coeur gros,
Du vague à l'âme,
Que la mélancolie
Mange à ta table,
Ne joue pas les héros.
Tes petits drames
Partiront en fumée
Si tu te laisse aller!
Refrain
Quand tu es dans ton lit
les yeux ouverts,
Tu vois passer minuit
Sans pouvoir dormir
Saute dans tes souliers
et viens nous voir:
On va passer la nuit
A taper du pied!
Refrain (bis)
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| | il pleut déjà assez ici, pas la peine de chanter!
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| | NA NA NA NA NA NA NA NA NA NA NA ! à chanter façon elfe ( Lily comprendra l'humour qui réside ds cette expression)
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| | Ma dong dong
Ma dong dong diguedong don don
Quand j’étais chez mon père (bis)
Oh Ma dong dong diguedong don don
Petite à la maison
Digue don
Ma dong dong diguedong don don
On m’envoi à l’école
A l’école du canton
Le maitre d’école
C’était un beau garçon
Il m’apprenait à lire
A lier à sa façon
Un jour il m’y demande
D’y payer ses leçons
Comment les payerais-je ?
N’ai pas le sou vaillant
Viens avec moi la belle
T’y gagnera de l’argent
Tu n’aura rien à faire
Que mon lit seulement
Le faire et le défaire
Et puis coucher dedans
Je couche pas avec les hommes !
Que j’les épouse avant
La couronne sur la tête
Devant tous mes parents
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| | Mademoiselle
Mademoiselle vous marierez-vous,
Vous avez les yeux clairs, c’est ça qu’vous allez faire,
Mademoiselle vous marierez-vous,
Vous devez faire le choix d’un époux.
Pensez-y, pensez-y, pensez-y bien,
Ce p’tit époux-là vous servira la belle
Pensez-y, pensez-y, pensez-y bien,
Ce p’tit époux-là vous servira fort bien.
Prendriez-vous un p’tit montagnard
Qui pique son p’tit piolet, du matin jusqu’au soir
Un montagnard, ça grimpe n’importe où
Avec son p’tit piolet, ça c’est fou.
...Ce montagnard-là...
Prendriez-vous un grand forgeron,
Qui tape sur des enclumes, le soir jusqu’à la lune
Un forgeron vous chauffera à blanc,
Avec un gars comme ça, là ça va.
...Ce forgeron-là...
Prendriez-vous un p’tit ramoneur
Qui monte dans vos ch’minées, à n’importe quelle heure
Prendriez-vous un p’tit ramoneur
Avec son hérisson, ça c’est bon
…ce ramoneur là…
(Prendriez-vous un joli sourcier,
Qui remue sa baguette, pour quelques gouttelettes
Ce sourcier-là remplira vot’ puits,
Rien qu’avec sa baguette, ça c’est chouette
...Ce joli sourcier-là...
Prendriez-vous un bon vieux curé,
Qui allume tous ces cierges et puis qui vous asperge,
Prendriez-vous un bon vieux curé,
Qui bénit tous les saints, ça c’est bien.
...Ce vieux curé-là... )
il manque le passage ave l'amant.
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| | La vielle fille
A quinze ans, j’étais gentille, je redoutais les amants
Je faisais la difficile, a présent je m’en repends
Quatorze amant par semaine sont venus me saluer
Un bouquet de marjolaine sont venus me présenter
Je les renvoyais au poste, c’etait mon contentement.
Grand Dieu ! que j’était sotte ! je le vois bien à présent,
Quand je vois toutes ces filles, qui étaient filles de mon temps
Elles ont des hommes tranquilles a leur femme bien complaisants.
Voilà mon front qui se ride, et mes dents toutes ébréchées,
Mes beaux cheveux qui se grises, cela m’y casse le nez
J’ai beau porter la dentelle et souvent changer d’habits
Les amants ils me délaissent, me voici fille pour la vie
Adieu les plaisirs du monde, je m’en vais au couvent ! (bis)
Enfermée avec les nonnes, dans un lieu étroitement
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| | La surveille de mes noces
La surveille de mes noces
La surveille de mes noces
Ah! Grand Dieu, que la nuit dura!
Mis la tête à la fenêtre,
Vis la lune au coin du bois.
Le point du jour, arrive, arrive
Le joli jour, vive l'amour.
- Hé, bonjour, dame la lune,
Tu n'est donc encor que la!
Je te croyais à six heures,
Et minuit n'arrive pas.
Mais sa mère qu'est aux écoutes.
Elle entend ce discours là.
- Tais-toi donc, petite sotte,
Le bon Dieu te punira.
Quand tu seras dans ton ménage,
Au logis tu resteras.
Ton mari n'y sera guère,
Que pour l'heure des repas.
Tu feras comme font les femmes:
Ton mari tu serviras,
Et quand tu seras trop vieille,
Il se détournera de toi.
Il ira voir la servante
Pendant que tu n'y seras pas
Lui disant les mêmes choses
Qu'il te disait autrefois
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